Pandorà - revenge is not enough ; do it better

@secondhand train

Pandorà Lucy Sanford.

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❝ the girl with the broken smile ❞
@maroon 5

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I ✍ I am what I am
NOM(S), PRENOM(S) : Sanford, Pandorà Lucy
SURNOMS : Pandy, Dora
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Ici même un premier janvier il y a 25 ans.
ÂGE : 25 ans
EMPLOI/ÉTUDE : Bosse pour la Hunting Division au sein de la NZSIS.
GROUPE : hunting division

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II ✍ And isn't it ironic ?

001. Pandorà a horreur des surnoms, pourtant elle en a plein depuis sa naissance. Entre les références à sa blondeur, sa bouche, son caractère trempé ou encore son prénom, tout le monde adore lui refiler pleins de petits noms qui lui donne des envies de vomir sur les personnes en questions.
002. Aujourd'hui la jolie blonde semble terriblement inaccessible. Elle a toujours un sourire sur la bouche mais celui ci semble faux tellement ses yeux sont éteints. Beaucoup la prenne pour une simple aguicheuse sans pitié qui vous regarde toujours de haut, mais pourtant une brêche s'ouvre et on découvre celle qu'elle était avant : une jeune femme intelligente avec beaucoup d'humour, mais toujours avec un caractère bien trempé.
003. On a jamais rencontré une telle comédienne que Pandorà. Si les gens savaient qu'elle ne joue qu'un jeu avec eux à 90% du temps, ils lui conseilleraient sûrement tous de devenir actrice. Quoique, tout d'abord ils trouveraient cela plutôt flippant.

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III ✍ Dust in the wind
« Pandy, je dois t’avouer un truc. » Pandorà regarda son meilleur ami, Charlie, et lui fit un grand sourire réconfortant. « Vas-y balance mon cochon, je sais que tu es en kiffe sur moi. Mais désolé, je te rappel que je suis fiancée ! » Elle éclata de rire et lui montra pour la énième fois sa main gauche où l’on pouvait voire une bague de fiançailles brillante sous les reflets du soleil. Cela faisait déjà un mois qu’elle avait dit oui à Mateo et pourtant son regard s’illuminait à chaque fois qu’il croisait la bague, c'est-à-dire environ dix fois par minute. Evidemment cela agaçait tout son entourage, et encore plus ses parents qui la trouvaient encore un peu jeune pour se marier à 20 ans, mais le bonheur de la jolie blonde était évident.

« Je suis sérieux Pandorà. Y’a un truc … Je l’ai découvert y’a quelques mois et j’ai besoin de pouvoir en parler à quelqu’un. Je ne devrais pas mais … Mais je n’aime pas te mentir. & j’avoue, j’en peux plus de garder ça pour moi. En parler avec mes parents ça craint, ils sont tellement habitués eux … & tellement sérieux ! Avec toi je pourrais en rire tu vois … On est meilleurs amis depuis qu’on a six quand même ! » Waouw, c’était la première fois que Charlie avait autant insisté sur l’importance de quelque chose, et de plus Pandorà était désormais sérieusement intriguée. D’habitude c’était elle qui passait son temps à parler, raconter des choses, réfléchir à haute voix, ou encore dire ce qu’il fallait ou ne fallait pas faire. C’est cet après midi là qu’elle découvrit et apprit l’existence du surnaturel. Evidemment elle avait du mal à y croire, étant plutôt du genre les deux pieds bien plantés sur terre, mais Charlie ne lui avait jamais menti, même pour rigoler. De nature plutôt courageuse, elle ne fut pas effrayer d’apprendre que Charlie, tout comme sa famille, était un loup-garou. Même lorsqu’il lui expliqua qu’il ne se contrôlait pas encore tout à faire lors des nuits de pleine lune, et lui promis de veiller sur lui si c’était nécessaire. Rapidement, l’histoire devint même un sujet de plaisanterie entre eux et si Pandorà écoutait désormais Charlie parler pendant des heures des différents effets que le surnaturel avait sur lui, cela ne la préoccupait pas plus que cela.

Un an plus tard, Pandorà se maria et devint officiellement la femme de Mateo. Tous deux âgés respectivement de 21 et 24 ans, ils décidèrent d’arrêter leurs études de journalisme et se mettre à travailler sérieusement. Peu à peu, Pandorà devint de plus en plus occupée par son métier où elle gravissait les échelles à une vitesse folle. Pour ses 22 ans elle fut nommée chef de rubrique et passait ses soirées entières dans son bureau à peaufiner ses articles. C’est vrai qu’elle s’était éloignée de tous ses amis, et même de Charlie. Mateo aussi ressentait un vide lorsqu’il rentrait et le soir, et il exprimait désormais son envi de paternité ; mais Pandorà voulait encore attendre un peu.

« Charlie, qu’est ce passe-t-il ?! C’est quoi tout ce sang putain ! Parle, bordel de merde, parle-moi ! Laisse- moi au moins rentrer !! » Pandorà hurlait, elle ne comprenait pas. Son ancien meilleur ami était face à elle, quasiment nu sous ses vêtements déchirés, couvert de sang et en larme, incapable de parler. Elle s’élança vers lui et le prit par les épaules afin de le secouer. Il était quasiment deux heures du matin et Pandorà était encore une fois restée tard au travail. Pourtant, à 100 mètres de la petite maison qu’elle partageait avec Mateo, Charlie l’avait arrêté brusquement dans un était physique proche d’un zombie … Ou tout simplement d’un loup garou ? « Charlie je te jure je te défonce si tu ne m’expliques pas ce qu’il se passe ! Mateo m’attends à la maison bordel ! » Elle n’arrêtait pas d’hurler, elle avait un sentiment d’angoisse tellement profond qu’elle croyait pouvoir tomber dans les vapes à tout moment. Et Charlie bégayait, elle ne comprenait pas, elle voulait juste rentrer voir si Mateo allait bien. Arrêtant de secouer Charlie, celui-ci commença enfin à sortir quelques mots distincts : « Tu me manquais … Depuis si longtemps … J’ai pas fais exprès … La pleine lune … Ton odeur … Ta maison … Te retrouver. Y’avait Mateo … J’avais plus de contrôle … Le loup garou a prit le dessus … Pandorà … Je m’en veux tellement ! … » C’était assez. Pandorà émit un cri puis bascula Charlie de côté au point qu’il tombe, et elle s’élança vers la petite maison.

« Toutes mes condoléances Mademoiselle Sanford. Entre la perte de votre mari il y a un an et le décès de vos parents, cela doit être très difficile pour vous. Est-ce que je peux vous conseiller quelques thérapies de groupe ? » Pandorà regarda le médecin et se mit à rire, ce qui laissa ce dernier bouche bée. « Vous vous foutez de ma gueule ? Je ne vais pas allez en thérapie parce que mes parents étaient assez con pour ne pas savoir rouler sur une route enneigée et le faire tout de même ! » Sans arrêter de rigoler, elle attrapa son sac à main et se retourna, sortant d’un pas décidé de l’hopital. Une fois dehors elle se laissa tombée sur un banc. Elle avait aimé ses parents de tout son cœur, mais avait décidé que plus personne ne la verrait pleurer depuis la mort de Mateo. Le sort s’acharnait, et maintenant que ses parents n’étaient plus là pour la réconforter ou pour la pousser à continuer son boulot et sa vie d’avant, sa décision était prise : elle allait se venger. Terminé le travail, elle n’avait plus aucune passion pour cela, et bien assez d’argent avec trois assurances vies sur ses comptes en banque.

« Je suis désolée, mais tout est de ta faute ». Elle regarda une dernière fois Charlie qui était allongé sur le sol suite au coup qu’elle venait de lui donner en pleine figure. Attrapant l’arme blanche qu’elle portait désormais à son ceinturon, elle planta l’arme dans le torse de Charlie jusqu’à ce que son souffle s’éteigne. Enfin, elle se laissa tomber aux côtés de son ancien ami et se mit à pleurer. Ce n’était que le début de sa vengeance, et elle avait fait le plus difficile n’est ce pas ?

Un an plus tard elle rejoint la Hunting Division de la NZSIS et découvre qu'elle n'est pas toute seule, même si elle reste plutôt solitaire. Depuis quelques semaines elle a pour cible un certain Asher Rhodes, mais la tâche s'avère plus difficile que prévu quand les sentiments s'en mêlent.

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IV ✍ Body and soul
PSEUDO/PRÉNOM :Agathe
ÂGE? SEXE? LOCALISATION? : 21 ans, F, IDF
COMMENT NOUS AS TU CONNU? Bazzart
SCENARIO OU INVENTE? : scénario
AVATAR : tabrett bethel
QUELQUE CHOSE A RAJOUTER? : Non, c'est parfait !

Sidonie Rhodes a écrit:

tu le touches je t'éclates