| | ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ | |
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Invité Invité
| Sujet: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 0:21 | |
| @tumblr colton, hardwick. ❝ Nous portons tous des masques, mais vient un temps où on ne peut plus les retirer sans s’arracher la peau. ❞André Berthiaume.
I ✍ I am what I amNOM(S), PRENOM(S) : Hardwick, Colton.SURNOMS : Laisse tomber, y en a aucun.DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Treize Novembre, Oxford, Royaume Uni.ÂGE : Vingt six ans.EMPLOI/ÉTUDE : Agent de police.GROUPE : Hunting Division. II ✍ And isn't it ironic ?à vous de mettre les différents tics/manies/habitudes/actualités de votre personnage001. ... 002. ... 003. IV ✍ Body and soul PSEUDO/PRÉNOM : f. mindÂGE? SEXE? LOCALISATION? : à remplirCOMMENT NOUS AS TU CONNU? Pollychon, je suis faible, j'ai pas pu attendre, mais t'a ton petit signe. SCENARIO OU INVENTE? : à remplirAVATAR : à remplirQUELQUE CHOSE A RAJOUTER? : à remplir
Dernière édition par Colton Hardwick le Dim 6 Nov - 1:08, édité 7 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 0:22 | |
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❝ Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes.« Il y a certaines choses qui doivent rester enfouies, loin, très profondément au fond de nous. Nous sommes différents, et là différences n’est pas un mal. Tu dois seulement comprendre, comprendre que personne ne doit savoir, pour toi, pour nous. Ma vie n’a pas grande importance, mais là tienne est précieuse, plus que tu ne peux l’imaginer. Dans quelques années, tu seras celui que tu étais supposé devenir, et ce jour là, tu comprendras pourquoi je vais te demander de me jurer maintenant de ne jamais parler de ça, de ne jamais parler de ce dont nous sommes capables. Tu comprends ? » Un au revoir aurait été suffisant. Ma génitrice, cette femme qui m’a porté, mis au monde. Durant les premières années de ma vie, elle fut plus qu’une simple mère, elle fut un pilier, le quai auquel j’étais rattaché, le seul rempart entre l’enfant que j’étais, et l’avenir qui se dessinait un peu plus chaque jour, un avenir tout tracé, une destiné à laquelle je ne pouvais échapper. Elle me quitta pourtant. J’avais huit ans, un âge auquel nous pouvons aspirer à des jeux d’enfants, à une insouciance que l’on se voit en droit de réclamer. Je n’eus pas ce droit, le choix me fut enlevé. Ma mère s’était entichée de mon paternel au lycée, alors que celui-ci n’était que de passage en ville, elle l’avait suivi, à peine âgée de dix huit ans, s’embarquant dans un mariage précipité, et une vie passée sur les routes, à chasser diverses créatures maléfiques, nocives selon mon paternel et sa famille. Des chasseurs, de générations en générations. Quand à ma mère ? Des sorciers, de générations en générations… un cocktail explosif. Jamais elle n’aurait pu avouer à mon père ce qu’elle était, la trahison aurait été trop grande, trop difficile à assumée, surtout après ma venue au monde. « Colton… jure moi de garder le secret, de ne jamais céder à cette part de toi. » Je ne pouvais jurer cela, ne sachant pas réellement de quoi il s’agissait. Un enfant ne peut imaginer construire sa vie sur un mensonge, encore moins lorsqu’il ignore les termes exacts du contrat que l’on tend à lui faire signer. « Je… » Une porte qui claque, mon paternel, j’ignorais à cette époque ce qu’il faisait de sa vie, tout ce que je connaissais c’était notre maison, plantée en pleine campagne, l’école à la maison, pas d’amis avec qui jouer, seulement un entrainement lourd à porter pour un enfant. Des années après le départ de ma mère, je compris pourquoi, je n’étais pas simplement un gamin d’une famille bizarre, j’étais ce type qui finirait par tuer des gens, pas pour le plaisir, mais pour la survie, pour se défendre de ceux qui tentent chaque jour un peu plus de bafouer l’ordre établi, de bafouer l’œuvre de dieu.
12 février, 1993, Oxford. ❝ Il n'y a aucune chance, aucune destinée et aucun sort qui puissent entraver la fermeté d'une décision prise par une âme déterminée.« Tu es assez vieux maintenant, à toi de jouer. » Durant ces dix dernières années, beaucoup de choses ont changés, beaucoup de choses sont arrivé. Certaines à oublier, à enfouir en moi, d’autres que je chéries, que je garde précieusement en tête, vestiges d’actes, de décisions qui ont marqué des tournants indéniables, qui ont forgé ma personnalité. Certains diraient sans doute que mon éducation relève de « l’endoctrinement ». C’est possible. J’ai foi en mon père, je lui dois tout, je vois à travers ses yeux. Lorsque l’on grandit avec un seul parent, on apprend vite à y survivre, s’identifier à un père est une bonne chose, et cela demande énormément de volonté que de coller parfaitement à l’image que celui-ci a de son fils, de celui qu’il aimerait qu’il devienne. « Je pars demain matin. » Depuis dix ans je suivais ses traces, apprenant à être aussi bon que lui, avec les années, j’avais appris à exceller dans mon domaine, la chasse. Il ne faut pas croire que la chasse n’est que l’image que l’on se fait des fusils, des gibiers, non. La chasse est subtile, la chasse est un art de vivre. Chasser l’être égaré, celui qui a céder à une nature qui ne lui est pas propre, ces erreurs de la nature, ceux qui oublient qu’ils sont des êtres humains, ceux là, ils ne sont pas si faciles à attraper, bien qu’ils ne soient pas aussi malins qu’ils le pensent. « Non, ce soir, tu quitte la maison dans deux heures. » Je ne discutais jamais ses ordres, il était mon mentor, mon modèle. J’étais sans doute un peu jeune pour ne ressentir aucune pitié, aucun besoin de rébellion, aucun acquis de conscience, j’étais pourtant fait ainsi. N’importe quel psychologue digne de ce nom aurait sans doute qualifié ma personne comme déficiente, psychopathe peut être même. Ma première chasse remontait à mes treize ans, jeune certes, indispensable pour comprendre, pour assimiler le fait que tout cela est nécessaire. « Peu de personnes seraient capables de faire ce que nous faisons, peu d’entre eux auraient le courage nécessaire pour aller jusqu’au bout. Tu comprends que notre mission est la plus importante de toute, qu’elle ne doit en aucun cas être oubliée. Nous sommes l’instrument de dieu, ceux qu’il a choisi pour annihiler le mal de la surface de la terre. » J’étais toujours en accord avec la vision de mon paternel, mais pas pour ce qui touchait à dieu, cela non, je n’étais pas croyant, comment l’être ? Si dieu devait justifier notre travaille, pour quelle raison laisserait-il de simples humains se charger d’une affaire comme celle-ci ? Le premier être surnaturel tué est important, c’est une image que l’on transporte comme un trophée, ce qui nous rappelle ce pour quoi nous sommes sur cette terre. Je quittais Oxford ce soir là, pour ne jamais y revenir. Ma mission était de continuer par moi-même, d’affiner ma technique, de trouver, et tuer ceux qui marchent parmi nous, vivent, alors qu’ils ne devraient pas exister. 6 septembre, 2003, Oxford. ❝ Les gens croiront un gros mensonge plus facilement qu'un petit, et si vous leur répétez assez souvent, ils finiront par le croire, tôt ou tard.Bon, ce passage est pas forcément votre préféré, nous en sommes conscientes. Alors, vu que nous sommes adorables, on vous propose de nous écrire une anecdote de 15 lignes minimum. Bien sur, nous on aime toujours en savoir vachement, mais tant que nous avons nos 15 lignes, nous sommes heureux. jour, mois, année, lieu. ❝ citation, ou quelque chose de profond du moins...Bon, ce passage est pas forcément votre préféré, nous en sommes conscientes. Alors, vu que nous sommes adorables, on vous propose de nous écrire une anecdote de 15 lignes minimum. Bien sur, nous on aime toujours en savoir vachement, mais tant que nous avons nos 15 lignes, nous sommes heureux. jour, mois, année, lieu.
Dernière édition par Colton Hardwick le Dim 6 Nov - 19:41, édité 11 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 0:24 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Maïwenn Sutherland
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| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 11:07 | |
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| | | Polly Chamberlain FIRE STARTING IN MY HEART
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| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 12:05 | |
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| | | Sidonie Rhodes ☈ I'LL LOOK AFTER YOU
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- BE OR NOT TO BE JOB : ECRIVAIN TO DO-LIST: ☎ YOUR CELLPHONE :
| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 14:53 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Asher Rhodes
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- BE OR NOT TO BE JOB : Enchaine les petits boulots. TO DO-LIST: Envoyer des excuses à Melissa. - Trouver un nouveau coup foireux a faire à Carson - Appeler Sid' - Me trouver un bon job - Arrêtez de fumer - remettre de l'essence dans ma moto. - Trouver un appart' ☎ YOUR CELLPHONE :
| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Dim 6 Nov - 20:23 | |
| BRODY Bienvenue | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Lun 7 Nov - 22:06 | |
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| | | Polly Chamberlain FIRE STARTING IN MY HEART
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| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ Mer 16 Nov - 18:12 | |
| Réservation terminée.. Fiche archivée mais pas tout de suite supprimée, tu peux toujours la finir. | |
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| Sujet: Re: ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ | |
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| | | | ❝ Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. ❞ | |
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